ARRETE TEMPORAIRE DU MAIRE (19/02/2024)
INTERDISANT LA BAIGNADE SUR LA PLAGE DE GRAND BAS VENT
Madame le Maire informe l’assemblée que la loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées, impose à tous les Etablissements Recevant du Public (ERP) d’offrir des conditions d’accessibilité à toutes les formes d’handicap.
Afin d’être en conformité avec la loi du 11 février 2005 relative à l’accessibilité des personnes à mobilité réduite, les services du 1er étage de la Mairie et la salle de délibérations doivent être accessible. Il convient de réaliser des travaux afin de respecter les règles d’accessibilité.
Les travaux d’installation et d’aménagement s’élèvent à 50 192 € pour l’acquisition d’un élévateur pour Personne à Mobilité Réduite et la création d’une issue de secours qui s’avèrent nécessaires.
(source : bulletin municipal n°8 août 2019)
Le projet de rénovation de la Bibliothèque Municipale consiste à créer une médiathèque conviviale, ouverte au public, conforme aux objectifs de la collectivité de moderniser le potentiel existant tant en mobilier qu’en matériels informatiques tout en respectant les règles d’accessibilité.
Les grandes lignes de l’aménagement proposé sont les suivantes :
Le coût de travaux d’aménagement et d’accessibilité s’élève à 44 280 €, qui sera possible avec le partenariat de l’Etat.
(source : bulletin municipal n°8 août 2019)
La commune de Deshaies œuvre dans la transition énergétique avec la mise en place de panneaux photovoltaïques sur la maison des associations du Bourg.
Ainsi, cette maison et la mairie auront une autonomie électrique. De même, 2 bornes sont prévues pour la recharge des véhicules électriques. Un projet de 74 000 euros en partenariat avec, l’Etat, l’ADEME et la Région qui débutera à la fin de l’année.
(source : bulletin municipal n°8 août 2019)
La construction de 13 logements sociaux est prévue à Bas-Vent par la Société Sikoa. Les travaux devraient débuter en septembre 2019.
(source : bulletin municipal n°8 août 2019)
La Commune souhaite poursuivre sa volonté d’améliorer la qualité de vie de ses habitants et ainsi diminuer les actes de malveillance sur son territoire. A ce titre, la Municipalité a décidé de mettre en œuvre un dispositif de vidéo protection visant à prévenir les actes d’incivilité dans certains quartiers.
Par conséquent, l’installation de ce dispositif de vidéo-protection doit permettre une prévention sur site, d’assurer la sécurité du plus grand nombre.
Ainsi 16 caméras de surveillance seront déployées sur la voie publique et certains points sensibles (exemple le Port, …) et seront régies par un Centre de Supervision Urbain. Un projet qui coûtera 351 663,00 € financé par l’Etat, la Région et la commune. Les travaux débuteront en novembre.
(source : bulletin municipal n°8 août 2019)
Afin d’assurer un accueil adéquat de la population et de garantir des conditions de travail décentes au personnel communal, la construction d’un Centre Administratif et Social permet de répondre aux besoins croissants en matière d’accueil administratif et d’assistance à la population. Il est destiné à accueillir le Centre Communal d’Action Sociale au rez de chaussée et la Caisse des écoles à l’étage. Des travaux qui débuteront avant la fin de l’année.
Un bâtiment HQE (Haute Qualité Environnementale), qui sera réalisé dans le bourg sur deux niveaux avec une capacité d'accueil de 20 agents. Ce bâtiment s'intégrera dans le paysage architectural tout en respectant l'identité et le caractère authentique de notre commune. Avec le concours de l’Etat, la Région, L’Europe, ce centre coûtera 600 000 euros.
(source : bulletin municipal n°8 août 2019)
Pour la rentrée scolaire 2019 la cuisine centrale fait peau neuve avec, une rénovation qui se fait en régie et externalisée pour une partie. Ainsi le Service technique permettra la mise aux normes du bâtiment, avec une nouvelle installation électrique, le changement de la plomberie, le déplacement des 2 chambres froides. Pour un coût total de 110 000 euros.
(source : bulletin municipal n°8 août 2019)
Durant 6 mois, en partenariat avec l’Etat, la Région, l’EDF et l’ADEME et pour un coût de 1, 2 million d’euros, la municipalité a remplacé les lampes énergivores par 780 lampes à faible consommation et 31 armoires sur l’ensemble de la voirie communale et de certains espaces publics. Ainsi, les points obscurs sont désormais éclairés et la population peut donc se sentir en sécurité.
(source : bulletin municipal n°8 août 2019)
Le port continue à évoluer. Il offre une meilleure accessibilité aux professionnels de la pêche et des équipements nouveaux tels que la machine à glace dont la mise en place est prévue en septembre 2019, tout comme les bacs à filet. Cet outil doit permettre une meilleure conservation des produits de la mer. La machine à glace fonctionnera 24h/24, 7j/7. Son coût total est de 178 000 euros.
(source : bulletin municipal n°8 août 2019)
En avril 2019 le projet de requalification du bourg (au Nord) a été entamé avec la création de la liaison piétonne : parking de la Bibliothèque municipale - le boulevard des poissonniers. Celle-ci permet dorénavant l’accessibilité en toute sécurité aux personnes à mobilité réduite, et redessine l’accès. Ces travaux ont duré 2 mois et ont coûté 86 000 euros. En partenariat avec l’Etat, la Région Guadeloupe, la commune tient, par cette action, à moderniser le centre bourg et à respecter l’AD-AP.
Toujours dans le cadre de la requalification du bourg (au Sud), en décembre 2018, le parking de l’esplanade des fêtes a été aménagé, afin de permettre aux croisiéristes, aux visiteurs et aux passagers inter îles, de stationner leurs véhicules en toute sécurité. Ces travaux ont duré un mois. Une action qui valorise la modernisation de l’accueil de la croisière, avec le dragage du port pour l’accueil de bateaux.
Cette opération dont le coût s’est élevé à 800 000 euros a eu pour partenaires la Région, le Conseil départemental et l’Etat.
(source : bulletin municipal n°8 août 2019)
Le thème budgétaire de l’année 2019 s’inscrit dans le prolongement de celui de l’année précédente « Deshaies l’authentique tisse son développement harmonieux et durable » et continue à répondre à l’engagement N°3 de la mandature 2014-2020 à savoir : Faire de Deshaies une ville d’excellence en matière de qualité de vie
Le 05 avril 2019, la présentation du budget primitif a fait suite au débat d’orientations budgétaires qui s’est tenue lors de la séance du Conseil Municipal du 08 mars 2019. Un budget qui respecte les grands équilibres entre fonctionnement et investissement et qui contribue à la réalisation des objectifs fixés.
Le Budget Primitif 2019 s’équilibre à 9 873 430.41 € soit 6 628 570,84 € pour la section de fonctionnement et 3 244 859,57 € pour la section d’investissement .Un budget en diminution de 7% par rapport à 2018, qui était marquée par le lancement de notre PPI ( Plan Pluri annuel d’Investissement). Les taux d'imposition n'ont pas connu d'augmentation depuis 2016 (Taxe d’Habitation : 16,88%- Taxe sur le Foncier Bâti : 31,18%- Taxe sur le Foncier non Bâti : 85,15%).
La rigueur et la rationalisation demeurent au cœur de cet exercice budgétaire. Ainsi la municipalité continue d’assurer une gestion saine et responsable pour garantir à long terme les équilibres financiers. Maintenir une ambition forte en matière d’investissement dans un contexte financier contraint, en stabilisant la dette, sans augmenter la fiscalité.
Conformément au décret du 11 octobre 1990, il recense les mesures de sauvegarde répondant aux risques naturels et technologiques majeurs sur le territoire de la commune. Le DICRIM de la Ville de Deshaiesa apporte des
informations sur la conduite à tenir pour prévenir, limiter les dégâts et protéger les biens essentiels et les personnes.
Qu’est-ce que c’est ?
Un document d'information qui recense les mesures de sauvegarde répondant au risque sur le territoire de la commune.
Pour Haroun Tazieff, la définition des risques majeurs : "C'est la menace sur l'homme et son environnement direct, sur ses installations, la menace dont la gravité est telle que la société se trouve absolument dépassée par l'immensité du désastre".
Des aléas naturels violents et une catastrophe aérienne ont marqué l'histoire et le territoire de Deshaies. Si la mémoire est entretenue pour certains de ces évènements ce n'était pas toujours le cas jusqu'à ce jour. Les scientifiques affirment que des aléas naturels violents sont toujours susceptibles de se reproduire, mais avec une gravité supérieure. En effet les enjeux humains et économiques sont devenus plus importants avec une augmentation de la population et son implantation notamment en bordure de mer. Un séisme ou un cyclone majeur pourraient causer un nombre très important de victimes et de dommages aux biens, en tout cas plus que ce qui s’est vu récemment dans la commune. Une catastrophe plus localisée est également possible avec des inondations, un tsunami ou des mouvements de terrain, consécutifs ou non à un cyclone, à un séisme ou à de fortes pluies.
Elaboré par l'Etat en concertation avec la commune, le Plan de Prévention des Risques naturels prévisibles (PPR) définit et délimite les zones à risques. Le PPR est librement consultable en Mairie. A ces aléas naturels, il convient d'ajouter l'aléa de transport de matières dangereuses qui, selon les circonstances, peut impliquer lui aussi un certain nombre de victimes, et des risques technologiques plus difficiles à prévoir. On parle alors de risques majeurs. Il est des risques moins prévisibles, comme ce fut le cas pour le crash du Boeing « Château de Chantilly ». Le 22 juin 1962 à 4h du matin le Boeing 707 d'Air France, en procédure d'approche de l'aéroport du Raizet, s'est écrasé dans la forêt domaniale de Caféière, faisant 122 victimes.
À la suite du tremblement de terre de Lisbonne en 1755, Voltaire rédige le " Poème sur le désastre de Lisbonne ", dans lequel il présente la fatalité des phénomènes naturels. Dans sa " Lettre sur la Providence ", Rousseau expose un point de vue opposé en expliquant que l'Homme peut agir pour améliorer son existence, notamment en n'habitant pas sur des lieux dangereux ou dans des conditions défavorables, comme la surpopulation. Cette controverse entre les deux écrivains marque le début de la réflexion sur la responsabilité de l'Homme face aux risques naturels majeurs, auparavant attribués à la seule fatalité.
Aux Petites Antilles françaises, au moins 180 000 personnes sont exposées au risque de tsunami. Le projet « EXPLOItation et Transfert vers les collectivités des Antilles françaises d’une méthode de planification des évacuations en cas d’alerte tsunami » (EXPLOIT) » favorise l’intégration de ces territoires dans le système d’alerte régional CARIBE/EWS.
Le projet concerne 58 communes littorales de Guadeloupe (31) et de la Martinique (27) ainsi que les collectivités de Saint-Barthélemy et Saint-Martin.
Son objectif principal est de planifier les évacuations, dernière étape du système d’alerte. Ce projet est piloté par l’UMR GRED (Université Paul-Valéry Montpellier III) et associe d’autres partenaires, issus du monde universitaire ou opérationnel. Il est co-financé par la Fondation de France et contribue à la réduction du risque tsunami dans la Caraïbe.
Ce travail repose sur l’exploitation d’une méthodologie de sélection multicritère de zones refuges et sur des modélisations d’itinéraires d’évacuation sous Système d’Information Géographique (SIG). Le projet associe les collectivités locales et les services de l’Etat dans sa phase de validation, de concertation et d’expérimentation lors d’exercices d’évacuation.
Chaque année, de juin à novembre, la Guadeloupe est soumise au risque cyclonique. Vous trouverez sur le site de la préfecture des informations et des conseils pour vous préparer ainsi que des consignes de sécurité à respecter pour vous protéger.